J'avais envie d'aller là-bas.
Là ou c'est vide, où c'est sale.
Ou l'on oublie et abandonne.
Comme ces non lieux au fond de moi.
Du nouveau mais du pas beau. Du pas doux, du pas poli.
Des horizons pathétique et fataliste.
Des rôts, du salace, peu de honte
de la survie.
Parce que même si on crache dessus, on y tient à la vie.
de la poésie Urbaine:





1 Comment:
-
- Anonyme said...
3/9/07 09:55et ensuite on est tellement heureux de rentrer avenue de la Sapinière... et l'on apprécie deux fois, cinq fois, cent fois plus... c'est une fois de plus relativiser pour se revitaliser..
Article plus récent Article plus ancien Accueil
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)