Je commence doucement à tolérer ma présence. Doucement les conflis s'apèsent et le regard peut prendre place.
Le jus de l'intolérence est doucement dilué avec l'indulgence, heureusement, les minutes sont un peu plus viable, point encore vivante.
L'oppression doucement s'exprime, laissant entrer un peu l'air neuf.

Seul à marseille comme partout ailleurs, hors du rituel quotidien, un apprentissage du vide.

Articles plus récents Articles plus anciens Accueil