Vivement que tu partes
Vivre sous toi défie la survie.
Des tas d'eau rages trépassent.
De ne pouvoir y mettes les mains.

Des mains maintenant j'en ai,
aujourd'hui pour te frapper,
Demain pour aimer

Me voir exister t'a pas excité.
A m'aimer tu n'as pas pensé.

Et moi de toi, je ne veux plus.

Si il y a des mots bannis,

Essais de textes [comme la traduction d'une ecriture automatique]

Tu étais là,
Je t'y sens encore.
Je m'y sens triste.
Délavé par ton absence,
Mes couleurs coulent
des larmes en découlent
Tes formes était
ma délivrance rance.


Tu cours encore espérant que je n'y sois plus.
Tu t'assois où que ta tasse soit.
Ces cent pas sans toi, essais ou pas, je ne sais pas
Suffisamment que pour te voir.
Sans voir de toi ce que tu ne veux pas,
J'y cours je crache désolé de t'y avoir emené,
Des fois quand nous entrions nous devions enlever nos draps,

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