C'est une évidence !
Zidane a dit : La performance personelle n'a pas beaucoup d'importance, on gagne ou on ne perd qu'en équipe.
Ce jardin n'est pas le meilleur exemple d'un travail en équipe mêe si sans l'aide de mes bon parents, je serais encore occupé à scier des billes de chemin de fer. (merci papa)
Donc 18m³ à la pelle et à la brouette forme la jeunesse et aide à la conserver.
si nous avions tous, tous les jours, deux heures de travaux manuel en nature, je suis sûr que bcp de choses seraient moins morose. :-)
Ce dessin, tourné a -90° donne un paysage montagnard bien sympathique.
L'âge donne des outils pour remplacer l'innocence de l'enfance.
Cet arbre âgé, tiraillé, tortueux et bossu, musclé mais pas étiré, porte les trace de l'âge.
Sa solitude l'a rendu robuste et silencieux.
Tout pour aller vers le haut, qu'elle qu'en soit les conséquences.
Se développer à tout prix.
Devenir plus grand pour avoir moin peur de la secheresse.
la souplesse restera au bouts des branches.
Le désorde est naisance le l'ordre,
L'ordre est la victoire de la conscience,
le désorde, celle de la nature.
Tout commence par le chaos,
il sagit d'en conserver l'énergie dans la mise en place de l'espace.
Je veux dire par là que souvent, dans le rangement de mes traits en dessin, je perdais beaucoup de choses. Certe, c'était rassurant de contrôler le processus, mais quelque chose manquait. Ce quelques chose qui dit que la structure est l'absence de structure. Quelque chose qui surgit de traits brouillés.
Dans cela, les dessins de Giacometti ont toujors été pour moi la référence en terme de traits. Il laissait tout au long du processus, toute place au chaos. Ressortait de cette expérience, une incroyable sensation de structure, de puissance et de perception. Au delà des apparences.
J'ai cru que ses traits était le résultat d'une grande vitesse et violence d'execution, mais pour l'avoir vu à l'oeuvre en vidéo, j'affirme que l'élaboration était lente et douce: autre paradoxe de sa technique.
Ici un exemple -portrait de diego- (j'adooore) :
J'ai appris aujourd'hui que faire l'amour en publique était passible d'une forte ammende. Je trouve ça bien carractéristique de cette société.
Moi j'aimerais bien peut être avoir ce genre de paysage, ça metterais un peu de gaitée, un peu de légertée et d'insouscience dans ces rues si soucieuses parfois.
Et puis je suis sûr que cette loi à été votée à cause de certains exibitionistes un peu extremistes, je l'espère dumoins car si elle a été votée pour "éduquer les gens" cela nous reserve encore peut-être une révolution...
Parce que ça serait possible?
Une simplicité melée de libertée ?
Une libertée ajustant les vraies valeurs?
Le rayonnement plaisant?
Tout est toujours dépendant de ce que l'on imagine.
Un havre de paix tout au fond, niché dans nos coeurs.
Une place autorisant toutes exentricités.
Quand au fond ça bout, l'horizon paraît infiniment calme.
Quand on aime vraiment, le monde n'a point de barrières.
Quoi d'autre à attendre que la solicitude ?
Quoi d'autre à chercher sinon l'or dans le sable le plus noir?
Quoi d'autre à aimer sinon ce qui ne brille pas?
La lumière se trouve dans cette réalité si banale.
Courir, fuyant le vent.
Se dépecher en arrivant le dernier.
ou
Attendre, voir et être surpris du presque rien,
Sentir et dévoiler l'inatendu,
Laisser se dérouler ce qui se renouvelle sans fin.
Rien attendre et se laisser entourer du vide.
Ce vide qui d'un coup prend toutes les dimensions,
Qui se fait miel.
Ce miel si pur, si vivant.
Cet amour sans contour,
sans calcul, sans retour,
sauf celui d'un pur moment de pleinitude.
Si un jour je sens le miel,
Ce miel naturel, si naturel.
C'est que j'aurai appris à pardonner,
de ne pas avoir pu y goûter dignement.
Définition :
«Soin plein de souci», dit le Littré. «Soins attentifs et affectueux, constants, prodigués envers une personne... une collectivité... ou un objet», ajoute le Trésor de la langue française.
«Tout le monde connaît la fameuse scène où tous, à force de dire à Basile: "Vous êtes pâle à faire peur ", finissent par lui faire croire qu'il est malade. Cette scène me revient à l'esprit toutes les fois que je me trouve au milieu d'une famille étroitement unie, où chacun surveille la santé des autres. Malheur à celui qui est un peu pâle ou un peu rouge; toute la famille l'interroge avec un commencement d'anxiété: "Tu as bien dormi?" "Qu'as-tu mangé hier?" "Tu travailles trop" et autres propos réconfortants. Viennent ensuite des récits de maladies "qui n’ont pas été prises assez tôt".
Je plains l'homme sensible et un peu poltron qui est aimé, choyé, couvé, soigné de cette manière-là. Les petites misères de chaque jour, coliques, toux, éternuements, bâillements, névralgies, seront bientôt pour lui d'effroyables symptômes, dont il suivra le progrès, avec l'aide de sa famille, et sous l’œil indifférent du médecin, qui ne va pas, vous pensez bien, s'obstiner à rassurer tous ces gens-là au risque de passer pour un âne. [...]
Morale: ne dites jamais à quelqu'un qu'il a mauvaise mine.»
ALAIN, Propos sur le bonheur, Paris, Gallimard, 1928.
Finalement, seul, dans un cri étouffé, je me retrouve à courir, courir, pour mieux encore sentir le manque de moi.
Dans ce vent, ce mouvement, je teste la vie en moi. J'ai envie d'être une boule de vie, ce ballon jaune. Je pousse, dépasse, repasse, replonge, sens, attends, tire, avance regarde. Et tout ça comme un cri qui me mêne à cet extrème, au bout de l'assourdissement.
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