(quasiment pas retouchée)


Entre
Regarder les statistiques de visite de mon blog de façon obsedante
et m’amuser à travailler sur des nouvelles envies ou idées.
Je penche imanquablement sur les statistiques.

Je me demande alors pourquoi, pour certains, les statistiques semblent être un détail amusant alors que pour moi ça semble être le seul but véritable.
Pourquoi je rerche le succès plutôt que du sens dans mon travail ?
Pourquoi je trahirais presque mes goûts artistiques pour ramener plus de gens sur mes travaux ? Parce que je crois que l’homogénéitée donne force à un travail artistique et je serais plutôt en train d’essayer de faire ce qui plait plutôt que de chercher ce qui me plait.

Une des solution doit être :
Le travail et la rigueur me font peur et je préfère largement surfer la vague plutôt que de la créer. Beaucoup de ce travail mais également beaucoup apprendre est nécessaire pour sortir du raz de marasme des pensées toutes faite et ce n’est pas chose aisée. Nourrir sans cesse sa conscience de choses qui la fait grandir dans son autonomie. Parce que l’autonomie est une des bases pour la créativité.
Donc, au travail. (pour plus d’autonomie et une amélioration des statistiques de visites :-D )

J’aimerais apprendre à faire passer des messages. Par la photo, la peinture, le dessin, le texte… Pas le piano parce que j’ai de trop longues jambes. Des messages, des sujets, je commence à en avoir qui s’empilent. Ne manque plus maintenant que je préfère le travail à la chasse aux filles….

De telles gens sont parfois des trouble-fêtes; il en faut pourtant de cette trempe et de ce ton pour faire contre-poids aux mous, aux doucereux, aux âmes moutonnières, comme il les appelle, à tous ceux qui suivent la vogue et le succès... (Sainte-Beuve.)


Coco
Mise en ligne par Jacqmin Sébastien


Elfes, première mise en ligne par Jacqmin Sébastien.


noire-liquide-03, première mise en ligne par Jacqmin Sébastien.


broux-liquide-01, première mise en ligne par Jacqmin Sébastien.

Vivement que tu partes
Vivre sous toi défie la survie.
Des tas d'eau rages trépassent.
De ne pouvoir y mettes les mains.

Des mains maintenant j'en ai,
aujourd'hui pour te frapper,
Demain pour aimer

Me voir exister t'a pas excité.
A m'aimer tu n'as pas pensé.

Et moi de toi, je ne veux plus.

Si il y a des mots bannis,

Essais de textes [comme la traduction d'une ecriture automatique]

Tu étais là,
Je t'y sens encore.
Je m'y sens triste.
Délavé par ton absence,
Mes couleurs coulent
des larmes en découlent
Tes formes était
ma délivrance rance.


Tu cours encore espérant que je n'y sois plus.
Tu t'assois où que ta tasse soit.
Ces cent pas sans toi, essais ou pas, je ne sais pas
Suffisamment que pour te voir.
Sans voir de toi ce que tu ne veux pas,
J'y cours je crache désolé de t'y avoir emené,
Des fois quand nous entrions nous devions enlever nos draps,



La luière bleue au dessus à droite c'est l'insigne METRO à la porte de Namur à Bruxelles


broux-liquide-04, première mise en ligne par Jacqmin Sébastien.


broux-liquide-03, première mise en ligne par Jacqmin Sébastien.

Non !


Douce, première mise en ligne par Jacqmin Sébastien.





noire-liquide-16, première mise en ligne par Jacqmin Sébastien.

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