Pourquoi le dessin n'est pas achevé ?
Alors que j'étais assis sur le parvis de l'église et que les maraîchers déroulaient leurs marchandises, le temps avançait... Il avançait tant que le marché était sur sa faim. Or, à la fin d’un marché, les marchands replient leurs marchandises et les places dans leurs camions. C’est alors que j'étais concentré sur les balcons qu’un camion, s'est placé devant moi tel un mur mobile et opaque empêchant toute poursuite du dessin.
Sinon, comment écrit t’on ces hommes des marchés ? Les maraîchers ?
Au milieu des arbres..
Je n'ai pas terminé ce croquis parce que j'ai pensé que me coucher dans l'herbe avec un verre de grenadine en main était plus digne d'un dimanche.
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Un bic publicitaire défectueux, je n'avais que ça en poche. Déçu en première attitude, j''en ai tiré profit pour jouer avec le hazard.
Le hazard d'un stylo qui laisse une trace quand les conditions entre la bille paresseuse et l'encre désinvolte sont favorable à une action.
Une première impression de la barrière de St-giles, ensuite, un peu plus bas, la taverne de l'Union.
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