MMMMmmmmm Posted by Picasa

Le nez au ciel. Posted by Picasa

Quand les fragments deviennent autonôme.
Ou alors est-ce qu'on a plus la force de rassembler les morceaux?
Ou alors est-ce que les morceaux ne sont plus assemblable?

Somme toutes, les traces que laisse un amour sont des fragments absolument éternel. Posted by Picasa

Blub blub
Je ne sais pas quoi dire aujourd'hui.. Posted by Picasa

Ce soir je te dis,
Qu'au fond de ton oubli,
Il y a un enfant qui crie,
Après toi.

Prend le par la main,
Accepte ton chagrin,
Soucie toi moins des lois.

Peur d'aviver à nouveau
Ce tumulte de cerveaux,
Aggloméré par ce que l'on ne dit pas.

Par cette peur je me tari,
Je reste au fond d'mon lit,
Moi aussi, je me retranche,

Pas envie ce soir d'éveiller
Ce qui au fond de moi
Je ne crois pas,
Me rendra damné. Posted by Picasa

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Lieu paradisiaque, tellement fort. Posted by Picasa

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Petit croquis en attendant que le linge se remette à neuf.

Banalité n° 125584998bis :
Il est plus important de se sentir au centre de soi
que de se sentir le centre du monde.
C'est plus riche aussi.
(Mieux vaut entendre ça que d'être sourd) Posted by Picasa

Seul ou a deux. Posted by Picasa

Dût à une panne de connexion internet à la maison je ne peux pas mettre à jour le blog.

Dès que ce facheux contretemps aura disparu, je vous refournirai un contenu journalier.


Apparement en Affrique on dit ça :

"On dit premier gaou* n'est pas gaou*
C'est deuxième gaou* qui est niata** "

*Gaou ça veut dire idot.
**Niata ça veut dire idot confirmé.
Tiré de Magic System.


Là bas on sait apparement que l'erreur ne rend pas idiot. Que la faire deux fois par contre rend carement "idiot confirmé". Enfin c'est comme ça que je le comprend. Si vous avez une autre interpretation, je ne me sentirai pas idiot. Posted by Picasa


Enfant du monde,
J'en tremble encore.

Tu m'as donné la vie,
De toute ta chair,
Tu as fait naître,
L'être qu'y m'habite

Je te regarde,
je nous regarde,
d'en haut je suis,
à présent,
Un être indépendant.

Vibrer, vibrez, vibré

*
Je ne sais pas pourquoi
T'as fait ça,
Sûrement qu't'était trop seule,
Qu'tes parents t'tiraient la geule.

Ché pas pourquoi j'ai écris ça,
Sûrement que j'commence à être moins seul,
Que je l'ouvre un petit peu plus,
ma geule.

Mais sur moi tu t'es défoulée,
Tu m'a confondu
Avec la pâte à modeler.

Ne te souciant pas,
De c'qu'y avait en moi,
T'as tout essayé pour
A tout prix me changer.

Maman tu pues, t'es dégelasse,
comment t'y es pris
pour m'changer en crasse.
T'a cru bien faire, dans cet enfer,
Mais t'es trompé, ch'uis déchiqueté.

Maman je me suis débattu,
j'te jure, j'me suis débattu.
T'a rien vu: je n'était qu'une injure,
A ta bonté, à ton sens ordonné.

Et quand j'ai peur,
Aujourd'hui de te tromper,
C'est qu't'es là, dans ma tête,
A me juger, A m'observer, à m'rabaissser.
... A m'désirer

Je ne serai jamais ton rêve,
Ne compte pas sur moi,
Tu as choisi ta voie,
Moi je suis paré.

Seul avant,
Je ne savais pas,
que sous mes hontes,
Il y avait toi.

Et si vous voulez me blâmer,
parce que trop d'injure, trop de saletés,
Je ne peux que vous envier
D'avoir été choyé.

Pas d'pansements,
pas de compresse,
J'vous laisse jugeant,
pour la fin de ce texte.

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(*)Détrompe toi, sous ces craquelures il y a une des meilleurs terre, gorgée d'eau.

Comment dire?..
Si je devais faire un bilan..
Des regrets, évidement, il y en a.
Des surprises il y en a eu aussi,
Des bons moments, des questions beaucoup.
Pourquoi tout de même ce ne sont que les regrets qui me restent au travers de la gorge?

Voyager c'est comme être parent, il n'y a pas de cours, pas de recettes miracles. Ok ,il y a cetainement des trucs et astuces, mais dans les deux cas, la réalité rentre rarement dans les cadres que l'on avait dessiné. Et chacun a sa manière de voyager.

Comme dans tout, il s'agit de faire des choix. Je n'arrive pas à prendre du plaisir dans le seul fait d'être en vacances. J'ai besoin de créer, de laisser une trace, de mémoriser, de noter. Sinon, les vacances me frustrent.

Je me sens si incapable de simplement sentir le temps qui passe, d'être, simplement.

Tous ces vacanciers en famille, le GPS ventousé au pare brise, trimbalant un monde dans leurs coffres pour ne pas se sentir trop "ailleurs" m'obsèdent, m'étouffent.
Et pourtant je les comprends, tant il est difficile d'être "ailleurs".
Etre le simple représentant de ce que l'on est. Être créateur de moments.

Le meilleur allié du voyageur est sa curiosité, son envie de voir.
Trop souvent je ne vois que des envies d'être vu. C'est là que tout capote.

Et ces malheurs là n'arrivent qu'avec la peur de notre voie.
Celle qui, devant nos yeux, nous appelle
Celle qui, par politesse et bon ton,
Evitons

Ce que de ma voix j'usse aimé entendre.

La vie dans un squat sans eau et sans wc forme la jeunesse.
Le premier jour insuportable... A cause de la chaleur ou de la fatigue ¿
Maintenant je ne veux plus repartir. je viens vivre ici :-)

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