Suite à un sérieux problème de connexion arachnidéale, les jours passé se sont passé de mises à jours.
Qu'a cela ne tienne! .. Et si ! A cela ça tient.

Tendre jusqu'au bouts des doigts.
Tendre à être plus tendre.
Tendre à savoir faire de la balançoire,
Tendre au temps.
Tendre à s'assouplir.
Tendre, à tendre

Tentez à bien le tendre, cela détend.



Qui pleure quand il pleut?
Qui peut sans pleurer?
Qui a peur quand il pleure?

Quand il pleut, la nature sourit sûrement.
Les pleurs de celui que la nature remercie.
Qui se réjouit quand il pleure?

Perles d'eau sans cesse en mouvement,
tantôt en l'air, tantôt sur la feuile et puis,
dans la feuille.

Avons nous un ciel en nous ?

Si le ciel est Père,
Mère la terre :
Papa pleure,
Maman en fleur. Posted by Picasa

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Parce qu'il sagit de passer bien des stades pour pouvoir aimer.
Parce qu'il n'est plus supportable de jouer le cul de jatte pour susciter l'affection.
Pace que compter sur ses jambes, demande beaucoup de douceur.
Parce que d'autres on eu plus de chance au départ du grand chemin.

Pour ça, je met ces couleurs sur le papier et remercie ceux qui respectent.

Rien de tel qu'un peu d'espoir et de nature.

Une Grany, son manteau de fourure, une démarche lente, son cabat.


Rencontre des deux parties d'un tout : l'humanité.

Rien que pour la beautée de la matière. Ecorce argenté

Donnez moi une Mercedes, je ferai le reste.
Être au volant de ce paquebot de la route, pour les vacances.

Sous ce soleil couchant, dans cette tendre humiditée qui commence, je regarde les couleurs et les formes.
J'aime décidement cette saison.

Le blog, avec ce soleil, devrait absolument s'appeller "une image par jour, ou presque".

Et oui, chaque soir je continue. Ma tête me plaît pas mal.

A se demander si inconsciement je ne le savais pas: Voici l'image de ce jour diabolique.. réalisé grâce à un morceau de miroir brisé et tranchant!
Bienvenue au supersticieux.
TOujours un peu tordu mais un regard plus ferme tout de même.

Tu te trouves dans le vent.
C'est sûr, tu lui ressembles.
Parce qu'en mon coeur tu balaies.
Alors,
je rêve d'être un arbre,
Être le tronc contre lequel tu te loveras,
quand par bonheur tu passera près de moi.

Mieux vaux ne pas essayer de te saisir,
Je souhaite t'attendre.
Même si ça prend du temps, tu resteras mon désir.

Nous ne sommes pas de ce monde,
Et il ne nous épargne pas.
Je deviendrai drôle et pour toi,
Je t'épargnerai des larmes qui, dans ton coeur, inonde.

Cette série de dessins est tiré de mon carnet. Actuelement, avant de m'endormir, je crée ce petit rituel: Je prend un magazine, dans lequel il y a des personnage, j'en choisi un et je me laisse le reproduire. Souvent l'expression du dessin est bien différente de l'image original ( voir hier, c'est pas triste) et reflète sans doute un état intérieur. Je dis sans doute car je ne suis pas vraiment en contact conscient avec ce que j'exprime. Il y en a un qui dit " Science sans conscience égale science de l'inconscience" ou encore un autre " un don sans technique n'est rien qu'une sale manie". Je fais ces portrait sans trop de conscience ni de technique mais il me sont bien redevables. C'est un moment proche de moi dont j'ai besoin.

Sinon, il n'y aura pas d'images jusque lundi. Je serai à Lyon ( bonjour les français) pour un stage d'aïkido. Je vous ramenerai des photos.

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